L’éducation Sentimentale – Flaubert – Théâtre de Poche

Je suis allée au théâtre !

L’éducation Sentimentale Flaubert aux Théâtre de Poche

Mon « Before »

Montparnasse, oh combien de fois j’ai arpenté tes trottoirs. Auparavant il y avait une librairie , ouverte 7/7 jusqu’à minuit, que j’aimais beaucoup mais aujourd’hui c’est un magasin de vêtements discount fermée le dimanche.

Les crêpes, les bonnes crêpes sont toujours là, tout comme un théâtre que j’affectionne particulièrement, Le Théâtre de Poche, deux salles dont une complètement accessible, dans mon emplacement il y avait un ♿️. C’est rassurant !

Les textes qui ont inspiré les pièces sont en vente au délicieux café du Théâtre.

Pour L’éducation sentimentale j’ai mon édition Classique Garnier que j’ai aimé relire avant la pièce.

Les équipes du théâtre sont vraiment super !

Attentionnés, et patientes avec certains spectateurs extravagants et particulièrement âgées.

Une étrange sensation m’envahît: j’ai peur, pourtant dans ma vie d’avant j’étais assidue des théâtres parisiens et franciliens.

J’ai l’impression d’entre un enfant qui a peur de monter sur un grand et gros éléphant et qui se sent tout petit.

Je regarde tout d’abord la logistique : toilettes, comment sortir… tout va bien les barres où il faut la place où elle est nécessaire. TOUT VA BIEN !

La Pièce

La pièce est l’adaptation de l’œuvre de de Flaubert, L’Education Sentimentale, Mise en scène et jouée par Sandrine Molaro, Gilles-Vincent Kapps

C’est une pièce rythmée et tellement bien interprétée que notre imagination fait le reste.

Une mise en scène moderne et drôle, évidemment si vous n’avez pas lu le livre vous l’achèterez sans délais pour voir si ce roman de Flaubert est vraiment une critique sociale si forte et claire.

Je vais vous répondre : OUI.

Les échos avec la société contemporaine se font sentir tout de suite.

Nos deux interprètes sont brillants et gardent l’attention du spectateur pendant toute la pièce.

J’ai aimé l’usage de la musique et les deux comédiens, qui tiennent l’édifice du roman de Flaubert à deux, de manière à nous proposer un très agréable moment de théâtre. Sourires assurés.

Je vous conseille cette pièce et ce théâtre que j’aime toujours autant moi j’y retourne le 24 pour une autre pièce !

L’after

Je suis trop contente, mon retour au théâtre s’est passé de manière impeccable, ayant choisi de renoncer à la voiture avant mon coma, nous décidons l’itinéraire, en nous assurant qu’il soit adapté au PMR. Train francilien N puis T3 à Viroflay direction haut Clamart.
Mais ascenseur en panne et M. RATP caché derrière le bouton « besoin d’aide » dit je ne peux rien pour vous ».
Le sourire est encore là, pas grave on revient en arrière jusqu’à la Gare Clamart ( bas Clamart) et nous comptions une fois sortis prendre le bus 189 et rentrer,
Mais non mais non ascenseur numéro deux en panne, impossible de sortir de la gare,
Piégée, j’ai un sentiment d’oppression qui s’installe, cette fois appel à la RATP qui conseille de repartir direction Montparnasse, un train, deux bus et un tramway plus tard je suis rentrée.

Mais pour cette belle pièce, on irait même sur la lune, où je pourrais marcher.


Batman Escape – Paris

Je suis allée à Gotham, mais non non pas à New York ! Gotham est au fuseau horaire de Paris !

Juste à la Villette, grâce à un super Escape.

Depuis quelques temps, je vous montre des lieux que j’ai pu, découvrir, voir et aimer.

Même en fauteuil Yes we can !

Après le rally des pavés de la Villette, on s’y habitue à force, nous vola chez Batman.

3 parcours ouvriront bientôt, celui du Jocker peut déjà accueillir les visiteuses et les visiteurs !!

Quelle belle aventure ! Le personnel et les personnages sont vraiment agréables et disponibles..

Best Harley Qinn du monde, même mieux que Barbie ( la dernière interprète du personnage DC sur écran, est Margot Robbie ).

J’aime Harley et j’ai bien conversé avec elle, les personnages interagissent avec les participants.

70 minutes drôles et amusantes. Nous n’avons pas vu passer le temps. Tous les jeux ne sont pas adaptés au PMR, sauf si on peut se lever du fauteuil et marcher.

Il y’a tellement à voir et à faire que je n’ai jamais ressenti de sentiments de frustration.

Regarder les autres sauter à droite et à gauche est aussi un spectacle.

Le café est un bar de Gotham, quelle merveille le décor ( et les cocktails).

Boutique avec des gadgets et pas que ( un paillasson Batman en 2 modèles par exemple ) pour toutes les envies et les prix.

Le prix de ce genre d’attraction immersive pour une famille, est un choix important, mais le travail pour la création de ce lieu hors sol est énorme et l’événement vaut le détour.

J’imagine bien une fête d’anniversaire avec plusieurs équipes d’amis, ante fauteuil roulant ♿️ j’avais fait un anniversaire Laser Game. Batman Escape sera peut être la destination de mon prochain.

La BD Jocker de Alan Moore me paraît la lecture parfaite pour accompagner cette virée à Gotham !

Je pense que c’est clair : J’ai adoré le Batman Escape The Joker et j’ai hâte d’en savoir plus sur les 2 autres parcours, La Batcave et The Riddler.

Contrepoint – Huxley – les Belles Lettres

C’est un sentiment étrange que de découvrir une face inconnue d’un auteur que l’on admire.
C’est comme si l’on rigolait avec Mary Shelley, ou frissonnait d’horreur avec Molière.
De plus, ce n’est pas une petite nouvelle oubliée dans un coin, mais un roman magnifique qui décrit avec acidité la bonne société anglaise des années 1920, a peu près celle de « Downton Abbey » mais sans l’amabilité et la quiétude du Yorkshire.
Écrit avant le meilleure des mondes, Huxley s’est attaché à raconter sans concession les travers de l’univers de 1928 qu’il voit péricliter, on peut y lire pourtant des sentences cruelles d’actualité.

Comme si ces problèmes de vues lui permettaient d’anticiper les chemins qu’allait prendre le monde.
´Contrepoint’ est peut-être le mot qui définit le mieux l’auteur lui-même: que ce soit dans la manière qu’il a de jouer les différentes trames du livre, ou dans le regard distancié sur l’évolution du monde, jusqu’à sa mort, oblitérée des journaux par le décès le même jour de deux autres grands rêveurs : JFK et C.S. Lewis. Comme si, jusqu’à la fin, il avait voulu interpréter sa propre chanson par derrière pour distinguer la musique de l’existence
Contrepoint est un grand roman, trop longuement oublié en langue française (alors qu’il est classé 44 dans les 100 meilleurs livres du XX en anglais )
Ne pas le lire, quand on apprend qu’il existe, est une faute culturelle.

Stan Lee lisant
« les portes de la perception »
 » Hilarious! « 

Scellerati – Signets Belles Lettres

Le format est petit, la couleur rouge vif, la qualité est celle que nous connaissons aux œuvres des Belles Lettres. Le premier livre que j’ai eu, de cette collection était Panthéon en Poche. C’est de cette façon que ces livres sont devenus mes petits livres rouges.

Le dernier paru de la collection est Scelerati, Antiques, Sadiques et Diaboliques.

Les textes historiques du livre sont précédés par un entretien, excellent, de Daniel Mendelsohn, sur le mal.

Le voyage dans le temps maléfique croise Platon, Aristote, Sénèque, Cicéron, Plutarque et tant d’autres penseurs qui illuminent le chemin avec des fragments d’œuvres, toujours présentées dans leurs contexte et placées dans la frise temporelle qui accompagne l’œuvre.

Nous découvrons différentes catégories de Scelerati, tous des monstres ? Ce livre donne les éléments pour trouver notre réponse. Après la lecture de Scelerati Messaline par exemple, décline son identité : perverse ou malade ? Grace aux textes elle aura un rôle plus clair pour le lecteur mais ici point de jugement, juste de quoi réfléchir.

Celle lecture est passionnante, comme l’est la collection Signets.

La cruauté existe « depuis toujours »

La fascination du mal est présente depuis l’Antiquité. mais l’interprétation et la perception du bien et du mal varient et se modifient au fil des époques des civilisations et des croyances.

J’ai été ravie de me promener dans les textes anciens de cette anthologie, qui livre les facettes multiformes du mal.

Et vous…avez vous un méchant (mythologie, histoire, littérature, BD, cinéma) qui vous fascine malgré tout ?

Le roman de Jeanne et Nathan – Camar-Mercier – Actes Sud

Lors de la présentation de la rentrée littéraire de Actes Sud, c’est la couverture qui a suscité la curiosité. Psychédélique, avec ce visage. Ce visage jeune et indéfini attire ma curiosité.
Le résumé, m’intéresse aussi. On parle de dépendance de cette nécessité, besoin absolu générées par une absence un manque. Douleurs psychologique et tout autant physiques, c’est tout le corps, de la tête au pieds qui réclame, qui transpire, qui souffre, qui donnerait tout pour un gramme, pour une goutte, pour une minute.
Nathan et Jeanne ne sont pas destinés à un chemin commun, des univers très différents mais la même sensation de vide affectif et de mal de vivre, lui il prépare un thèse disons « atypique » elle est une star du porno.


Et pourtant la vie et la cocaïne en feront un couple, deux êtres qui évoluent ensemble. Place au romantisme et aux rêves.
Roman qui aurait plut à Aldous Huxley et pas seulement pour sa couverture.
Nous suivons deux ruisseaux qui se transforment en fleuve.
L’écrivain sait captiver, il génère une multitude de sentiments, d’émotions, on ressent, on transpire, puis on respire aussi.
Réaliste, dur et intrigant, l’écriture rythmée et l’humour, font de ce livre, un autre livre de cette rentrée littéraire à lire absolument !
Un premier roman loufoque pour un écrivain brillant, drôle et intéressant.

La Victoire Des Sans Roi : Révolution Gnostique – Thiellement Pacôme – Alpha.Philosophie

Les « sans roi » sont les gnostiques, ceux qui se rattachent à l’enseignement qu’aurait donné Jésus Christ pendant les 12 ans qui ont suivis sa résurrection,
Thiellement nous offre une relecture décapante et revivifiante des écritures, en s’attachant à l’évangile de Jean et aux textes apocryphes découvert en 1945 à Nag Hammadi.

C’est aussi jubilatoire que Prométhéa d’Alan Moore, les références fusent de toutes parts, faisant feu de tout bois : cela cause autant de Tertullien que des Beatles, d’Augustin que de Twin Peaks, et Philip K Dick ainsi que John Lennon ont la prééminence sur Paul de Tarse.

Que nous soyons croyants ou pas, ce livre est une attaque des éléments négatifs et dogmatiques et permet de s’interroger tout en gardant le sourire. Il devient le solide contradicteur de Joseph de Maistre.

Thiellement nous démontre ce que le christianisme aurait du être si on avait suivi que ce qui est écrit dans l’Évangile de Jean, une religion d’amour sans ukase, rejet, discrimination ni hiérarchie,

Il est dommage que ce livre ne soit lu que par ceux qui s’intéressent à la spiritualité alors que ses références à la Pop culture s’adressent à toutes les générations.

Les vies secrètes de Vladimir -Yoann Iacono – Slatkine & Cie

Après nous avoir fait découvrir la vie de Neijoko Suwa, très bien racontée, dans « Le Stradivarius de Goebbels », traduit dans onze pays,Yoann Icono nous emmène dans la Russie du vingtième siècle …

Un autre artiste est l’inspiration de ce livre :

Poète, peintre, affichiste, dramaturge, et plus encore, Maïakovski (1893-1930) est un artiste organique des lettres russes, il va passer du statut d’ambassadeur de la révolution Russe (il est envoyé en France et aux USA) à celui d’artiste ennemi de le patrie. L’auteur est une nouvelle fois tellement documenté qu’il rend ses mots empreints de réalisme, transformés en morceaux d’une complexe toile qui dépeint les relations du pouvoir avec les artistes.

L’auteur a la capacité dé reconstituer les éléments d’un récit pour parvenir à nous donner une vision globale, pas après pas, page après page. Son narrateur est le fils, non reconnu de l’artiste. Il a besoin de se connaître en racontant son éclectique père. L’histoire de « Volodia » (Vladimir) est complexe et nous passons de la vie d’un géant adulé à la vie de l’artiste rejeté.

Il y a un procès et une description de la société qui nous offre une petite ambiance Gogol avec un soupçon de Boulgakov.

L’ambiance russe est parfaitement réussie et le roman agréable à lire.

Yoann Iacono, confirme son talent, je vous conseille cette lecture, une confirmation du talent de l’auteur. À lire et à suivre…

Intégrales des « Chroniques de Krondor » et «La Légende des Firemane » – Raymond Feist – Bragelone


Raymond Feist est un incontournable de l’Heroic-Fantasy qui a rejoint mon panthéon personnel avec Fritz Leiber, Robert E. Howard, Michael John Moorcock, Eddings, George R. R. Martin et Pratchett parce qu’il n’y a pas que Tolkien et Chrestien de Troyes dans cette partie de la bibliothèque!
Feist est un démiurge qui non seulement a crée un multivers cohérent et connecté, les personnages passant d’un monde à l’autre, mais qui inscrits ses héros dans le temps : ils vieillissent et passent le flambeau à leurs enfants et petits enfants.


Chaque tome voit une tranche de vie de chacun des héros, et toujours de manière diversifiée : l’apprentissage d’un magicien, d’un petit voleur, de la dernière d’un clan, d’un jeune prince, d’un commerçant, du dernier récipiendaire d’une face de la magie ou même d’un démon.
Le seul reproche que je pourrais lui faire est qu’après avoir planté tant de personnages attachants, j’aurai bien aimé qu’il dilue un peu plus la sauce, tant il y a de la place pour de nombreuses intrigues. D’ailleurs je me demande combien de temps il faudra pour des fans un peu doués s’engouffrent dans la faille.

Une odeur de sainteté – Franck Maubert – Mercure de France

Parfois dans la vie l’inattendu arrive, une fulgurante poussée d’étourdissement, sentimental, amoureux, d’admiration.

Des tableaux à Florence, des vers, des instants.

Des instants magiques. Épiphanies inétendues.

L’histoire, me fait penser, à son commencement uniquement, au Parfum de Patrick Süskind.

Jeanne à une particularité, entre le merveilleux et l’effrayant : L’hyperosmie qui est l’exacerbation de l’odorat. Un nez, habitué aux mélanges de fragrances voluptueuses et classiques est chargé par un médecin avec un semblant de Frankenstein ( le Docteur…), l’invite à décrypter les notes du cœur d’une dame en odeur de Sainteté.

Définition « odeur de sainteté »: Odeur suave que le corps de certains saints exhalerait après la mort. Au figuré : ne pas être en odeur de sainteté; être mal vu.

Le cœur de la Candidate à la béatification est celui d’une femme inconnue, son histoire ne fait pas partie de l’Histoire.

Jeanne ne peut plus se passer du souvenir de la fragrance esthétique et extatique qui a provoqué en elle un fort bouleversement.

Émérence, qui est tu, quel mystère recélés tu ?

Ni le Professeur ni le Diacre, à l’origine de cette mission insolite, semblent en mesure de combler le vide que ce questionnement génère .

Chercher, partir pour savoir parait lui dire la voix, telle sera alors sa voie.

Une introspection brillamment construite, des rencontres et un voile de romantique mysticisme enveloppent tout ce récit.

C’est comme le mélange d’une fragrance qui s’ouvre devant nous. Les ingrédients, comme des couleurs définissent, esquissent, dévoilent le scènes et les tourments de la vie de ce cœur en odeur de Sainteté.

Mes pensées vont à la tapisserie, l’une des tapisseries de La Dame à la Licorne. L’odorat, illustrant la représentation d’une licorne, un lion, une servante et la Dame tressant une couronne de fleurs, des odeurs paisibles. Un singe, assis en arrière plan, respire ou vole une fleur saisie dans un panier.

Le charme et l’alchimie que ces teintures émanent, ont sur moi aussi l’effet d’une demande de plus d’informations, mais moi je ne suis pas George Sand (elle a joué un rôle majeur dans la redécouverte et la des tapisseries de la Dame à la Licorne au XIXème )

Le roman de Maubert est, à mon avis de ceux à lire dans cette rentrée littéraire.

Une écriture raffinée et légère accompagne cette lecture.

Pauvre Folle – Chloé Delaume – Seuil

Cher Bookclub de France Culture, je te remercie d’ouvrir le bal littéraire de la rentrée avec le dernier livre de Chloé Delaume chez Seuil
L’autrice est pour moi une décharge électrique qui réveille l’esprit, des mots puissants pour des histoires qui nous racontent la vie.
Elle ne s’offusquera pas, j’espère que je la définisse mon écrivaine aux sortilèges qui frappent fort et avec élégance.
Nous avons besoin de mots nouveaux pour définir nos maux, et remplir les mosaïques de la mémoire de l’apprivoiser de la tutoyer et finalement l’accepter.

Chloé Delaume sait trouver les paroles justes.
Clotilde, là protagoniste est un être sensible loin de l’anhédonie qu’elle craint ou désire ?
Enfance traumatisante, des choix de liberté et un talent dans l’écriture, dans le pouvoir d’évasion.
Son histoire est celle de ma génération aussi, Clotilde est un peu plus âgée que moi mais même combat et échec, souvenir d’un monde disparu, où le possible paressait encore réalisable, où nous n’avons pas plié le réel et où nous nous y sommes finalement pliées.
Ah ! la solitude et l’autosuffisance ou l’amour et la passion. Spleen ou idéal ?


Clotilde s’interroge, nous ouvre son cerveau, partage ses pulsions exacerbées.
Un texte magnétique, impossible de décoller le nez. On lit une page et on guette la suivante.
Les souvenirs et le présent s’entrelacent et esquissent le tableau complexe de la vie de Clotilde. Un voyage en train doit servir à remettre en place l’ADN de ses choix. La destination est l’Heidelberg de Goethe, le but coller les morceaux d’une existence, de celle qui n’est plus une belle et étrange histoire avec un final incertain, mais celle de l’emprise subtile et invisible. D’ailleurs le plus grand problème avec l’emprise est d’en accepter l’existence. Il n’y a pas de vaccin contre la manipulation.
Le train, pour moi aussi a servi de transport de ma mémoire, c’est le moyen que mon coma et mon cerveau ou repos ont choisi pour me faire parcourir mon histoire de vie et faire surgir les souvenirs, un peu comme dans Harry Potter, abandonnés dans un lieu de stockage hors de notre volonté.
Un roman d’exception, la fin d’une histoire à l’époque de la fin du monde.
Le VITRIOL qui mène à l’acceptation, à la résurrection.
Le réel est un cas particulier du possible merci Chloé pour ton texte. Beau.

Je pourrais vous parler encore et encore des facettes de ce livre, de la Villa Médicis à Rome, des troubles différents et variés, mais tout ça est à lire au fil des pages de l’histoire de Clotilde.