
Dans une danse audacieuse avec ses démons intérieurs, Laure Martin nous livre, à travers « Mes pieds nus frappent le sol », un récit poignant d’émancipation. Son écriture, ciselée et incandescente, invite le lecteur à parcourir les méandres de la reconstruction personnelle. L’autrice tisse habilement les fils de son histoire pour exprimer toute la beauté et la complexité de la métamorphose d’une enfant dominée en une femme affirmée.

Dans ce texte vibrant, chaque mot est une révolte, une affirmation de soi, une invitation à la renaissance. Laure Martin questionne les emprisonnements invisibles et déclame haut et fort le désir ardent de s’approprier son existence corporelle. Suivant un parcours semé de luttes et de force à trouver en soi, le récit illumine le pouvoir de la réappropriation, transformant la douleur en poésie.
Sa plume, à la fois lyrique et percutante, évoque des sensations que l’on ressent au plus profond de soi, et son récit devient une véritable ode à la réinvention. Une épopée personnelle qui suit le chemin sinueux de la liberté, formidable et exaltante.
Une lecture qui est un coup de cœur.
Je vous ai décrit mes émotions et perceptions sans véritable résumé.
Je fais ça à chaque fois qu’un livre pour moi va plus loin qu’une histoire particulière et devient universel.
Le lire ainsi sera pour vous, une vraie découverte et j’ai hâte de connaître vos émotions de lecture mais je dois vous dire qu’il parle d’inceste ce livre, je dois l’écrire parce que trop de silences règnent dans les familles qui le vivent.
L’autrice parle de cette expérience atroce avec une simplicité qui éclaire tout, avec un rythme qui fait avancer.
Merci Claire Martin de raconter ce silence.
