Jusqu’au 8 septembre
Le décor est un enchantement, créé par le cardinal de Richelieu en 1633, le Palais Royal et ses jardins sont à deux pas du musée du Louvre
Les 260 colonnes octogonales rayées de noir et de blanc de Buren méritent bien un détour et sont devenues l’un des symboles de Paris.
La pièce est le Fléau de Shakespeare, retraduite pour l’occasion par Léonard Matton et déjà cela est un succès, on y retrouve la verve d’origine du texte anglais.
Les comédiens nous transportent à Vienne pendant la peste et l’expérience théâtrale est radicale, l’immersion complète.
La compagnie théâtrale fait partie du réseau JeDI, la force fédératrice de la filière des expériences immersives. Je vais les suivre de près !
J’ai pu suivre les séduisantes déambulations nocturnes du Fléau version interactive même en fauteuil roulant ♿️, je tenais particulièrement au rendez-vous avec cette pièce et je suis contente d’avoir osé, car ce spectacle est une pure merveille.
Le génie et la force de William Shakespeare se révèlent dans ce spectacle immersif et les comédiens en exaltent la poésie.
Avis aux êtres humains qui marchent tout de même : si vous voyez un fauteuil roulant ou un enfant de 8 ans ne le contournez pas pour vous placer devant, c’est un peu agaçant mais mon accompagnateur a réussi à me faire suivre les acteurs en mouvement.
J’ai été moi même actrice de ce moment et l’émotion est unique.
J’ai hâte de voir d’autres représentations aussi belles et immersives, je suis une admiratrice du concept
Bravo à toutes à tous, chers amis d’ Emersiøn, sachez que je rêve du « Le Songe d’une nuit d’été » en immersif !
Merci à Mathilde Gamon, pour tout !